Application disponible sur les stores : iOS et Android. 30 jours d'essai gratuit.

Éducation positive et bienveillante

Responsabilisez vos enfants et apprenez-leur à gérer leur temps. Une pédagogie sans heurts, basée sur la communication, la non-violence et la confiance mutuelle : l’éducation positive et bienveillante a pour but la pacification des rapports parents-enfants.

Qu'est-ce que l'éducation positive à l'heure du numérique ?

Toutes les familles rencontrent aujourd’hui la même problématique : les enfants et adolescents sont attirés par les écrans, en particulier ceux des smartphones et des tablettes, au point de parfois passer trop de temps à les regarder et à les utiliser. Et tous les parents font le même constat : l’interdiction, la confiscation ou le chantage aux notes par exemple, mènent à des climats tendus, faits de frustration et d’incompréhension. La question, devenue presque centrale de nos jours, peut cependant être abordée différemment, grâce à l’éducation positive et bienveillante, prouvée par les neurosciences et reposant sur des lois naturelles d’apprentissage.

Cette méthode se résume par une formule simple : « le juste milieu ». Elle vise à ce que la punition et la récompense ne fassent plus partie du logiciel de la relation parents-enfants. L’idée est d’encourager l’adoption de règles de vie concertées plutôt que d’imposer des diktats sans discussion. Confiance et communication sont donc au cœur d’une approche qui vise à l’autodiscipline. À l’heure du numérique, les besoins de l’enfant, tant du point de vue psychologique que comportemental, se situent du côté d’un usage raisonné des smartphones et des tablettes. L’éducation positive va consister à apporter une régulation du nombre d’heures hebdomadaires, en accord avec les recommandations des pédopsychiatres. Mais plutôt que de décréter une période d’autorité, cette régulation naîtra via la discussion avec l’enfant ou l’adolescent concerné, pour qu’il comprenne que c’est pour son bien-être et son futur que vous souhaitez trouver une solution.

4teens, une protection parentale avant tout

Pourquoi nous ne sommes pas un simple contrôle parental ?

Les fondateurs de 4teens se sont d’abord rassemblés autour d’une idée commune : accompagner les parents qui souhaitent aider leurs enfants à réduire leur temps d’écran. Tous sont parents et, à des échelles diverses, connaissent l’éducation positive. Ils ont souhaité réaliser une solution qui ne soit pas seulement technique, mais aussi un support pour une parentalité bienveillante basée sur la communication non violente.

Au-delà de l’interface de gestion et du contrôle parental sur les smartphones et tablettes Android et iOS, 4teens accompagne les parents, via des conseils, pour que les usages concrets de l’application donnent lieu à une sorte de médiation familiale. L’installation de la solution doit amener un débat ouvert entre les parties prenantes : chacun doit se sentir concerné par la question.

Le vœu pieu des créateurs de 4teens : que l’usage du contrôle parental ne soit pas une fin en soi. L’idée directrice du projet est qu’un jour les enfants émettent naturellement l’envie de réguler leur temps d’écran sans avoir besoin de la technologie.

Responsabilisez vos enfants devant les écrans grâce à l’éducation positive

Constater, discuter, réguler : tels sont les trois temps de l’utilisation de 4teens dans une famille. Trois mouvements qui s’effectuent en intelligence avec votre enfant ou votre ado. D’abord, vous aurez à poser avec lui une sorte de « diagnostic » : quel temps passe-t-il sur son smartphone ? Va-t-il trop tard sur Netflix les soirs de semaine ? Joue-t-il une ou deux heures de trop sur Fortnite le mercredi après-midi même quand il fait beau ?

Ensuite, une fois les éventuelles dérives constatées, l’éducation positive incite à une sorte de maïeutique : la discussion doit amener l’enfant à se rendre compte que, pour son bien, le temps d’écran doit être limité, que d’autres activités existent et qu’il est important de ne négliger ni le monde réel ni la scolarité. L’approche est enfin pragmatique, et va consister à faire réfléchir l’enfant sur sa propre responsabilité. En tant que futur adulte, de personne à part entière, il peut tout à fait comprendre pourquoi vous lui recommandez de diminuer son usage et ainsi proposer lui-même la régulation qui semble équilibrée pour tout le monde.

Éducation bienveillante : comment aider votre adolescent à décrocher de son smartphone ?

La parentalité positive et l’éducation bienveillante ne s’appliquent pas, bien sûr, qu’aux tout-petits. Elles peuvent aussi concerner les adolescents, qui sont les victimes les plus massives de la surexposition aux écrans. Ultra-majoritairement équipés de smartphones et connectés sur les réseaux sociaux, ils sont l’une des premières générations à connaître les outils numériques depuis leur naissance, et à les utiliser massivement.

La communication bienveillante et non violente ainsi que l’approche empathique permettent d’appréhender la question avec eux. Un ado en plein épanouissement a déjà son mot à dire sur cette question : il vous appartient de l’aider à s’autoréguler, en gardant intacte votre confiance en lui, sans pour autant être laxiste.

La discussion et l’adoption d’une solution de contrôle parental sont deux clés de voûte d’une prise de conscience chez lui d’une éventuelle surexposition. Avec 4teens, vous avez la possibilité technique de veiller à ce qu’il n’utilise pas certaines applications durant son temps de devoir et qu’il n’ait pas accès à Internet sur son smartphone et sa tablette durant les moments où il doit dormir. À vous de lui présenter les choses de manière bienveillante, en lui expliquant qu’il y a un temps pour tout, et qu’entre des activités plus ludiques et créatives (la musique, le dessin), la sociabilisation, la lecture, le sport, de nombreux passe-temps bien « réels » lui sont ouverts, et sont nettement moins facteurs de troubles que les heures superflues devant l’écran.